Bamako. Dimanche 20 juin. Première incursion dans les rues du quartier Missira pour acheter une carte sim pour mon téléphone. Impossible. La plupart des magasins ont fermé. La raison : « C’est dimanche ! ». Jour de mariage à Bamako. Mais surtout jour de repos pour les nombreux vendeurs.
Les rues ne grouillent plus de monde. On a l’impression d’une ville morte. Les magasins et autres commerces n’ont pas ouvert. Le marché dans lequel habituellement les foules se frottent est quasiment désert. La criée des vendeurs n’est désormais qu’un simple murmure de quelques passants perdus et éparpillés ça et là de la route principale.